Pour un meilleur épanouissement de l’enfant

par Jan 28, 2021Non classé

À première vue, avoir un enfant est facile, d’autant plus que la reproduction est un acte naturel. Mais devenir parent implique diverses responsabilités. L’éducation est une d’elles. C’est une lourde tâche vu que l’avenir de l’enfant dépend essentiellement de cette éducation. Une parentalité positive peut de ce fait se révéler un bon moyen de faire face. Instaurer des règles à respecter contribue à l’épanouissement de l’enfant. La parentalité positive est donc un complément qui oblige les parents à gérer des situations difficiles pour le bien de l’enfant.
La parentalité positive c’est aussi assurer un modèle à copier pour l’enfant en adoptant soi-même des principes répondant aux besoins de l’enfant et son bien être.
De bons parents doivent toujours trouver le juste milieu entre une éducation autoritaire et une éducation permissive. 

Que faire ?

La parentalité positive exige de reconnaître les expériences du passé, bonnes ou mauvaises, et d’en tirer des leçons. Des parents qui ont subi de la maltraitance dans l’enfance devront savoir que ce traitement est nocif. De ce fait, il évitera d’appliquer le même traitement à son enfant.
Les parents doivent également tenir compte de l’âge de l’enfant et ajuster l’éducation adéquate à ce critère. Force est de constater qu’un enfant de trois ans n’a pas les mêmes capacités d’assimilation qu’un enfant de 12 ans. Il est à préciser que l’environnement joue un rôle très important dans l’éducation. Mettre l’enfant dans un environnement d’apprentissage positif est de ce fait une bonne démarche.

La parentalité positive est avant tout un travail à faire sur soi-même. Le meilleur astuce pour une parentalité positive est de rester à l’écoute du besoin de l’enfant et d’instaurer le dialogue. Ces deux principes serviront de bases pour la mise en place de l’éducation adéquate. Connaître son enfant, le comprendre, le soutenir, le conseiller, l’accompagner sont autant de devoirs qui reviennent aux parents. Le plus dur, c’est de penser que l’éducation n’a pas de limites, même à 30 ou 50 ans, une personne reste toujours l’enfant de quelqu’un !